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"Les Murs ont des Oreilles" s'invite à la FSEG à l'occasion du festival "Écrivaines à l'Université"
Publié le 31 mars 2025
Dans le cadre du festival « Écrivaines à l’Université », l'artiste « Les Murs ont des Oreilles » a récemment été invitée à réaliser une œuvre dans le hall de la Faculté des Sciences Économiques et de Gestion (FSEG) de l’Université Paris-Est Créteil (UPEC). Connue pour ses collages subtils et poétiques dans les rues, l'artiste strasbourgeoise a apporté une touche unique à cet espace universitaire, avec une installation visuelle à la fois intrigante et réfléchie.
L’artiste, dont le prénom reste mystérieusement caché sous l'initiale « R », a débuté son parcours artistique en 2020 à Strasbourg. D'abord, elle a orné les rues de la ville de petites oreilles, un détail curieux qui a rapidement fait écho dans les espaces publics. Cette démarche, apparemment simple mais intrigante, a pris une ampleur particulière lorsqu'elle a quitté sa ville natale pour investir la capitale. Ses collages ont alors trouvé leur place dans les rues de Paris, se mêlant au paysage urbain tout en apportant une touche d’étrangeté à la ville.
Mais l’artiste ne se limite pas à cette signature visuelle : elle explore également le langage à travers des œuvres où elle déconstruit des expressions courantes et joue avec les subtilités de la langue. Sa série « Au Pied de la Lettre », lancée à l’automne 2020, s’intéresse précisément à la manière dont les mots et les expressions peuvent être réinterprétés et réécrits, notamment pour exorciser sa propre expérience en tant que dyslexique et dysorthographique.
L’invitation de l’artiste à la FSEG s'inscrit parfaitement dans l’esprit du festival « Écrivaines à l’Université », qui met en lumière les créatrices, leur démarche et leur contribution à la culture contemporaine. Cette œuvre visuelle est une invitation à réfléchir sur la manière dont l’art peut investir l’espace académique et interroger les représentations du langage, de l’écriture et de l'expression.
L’espace universitaire, habituellement dédié à l'enseignement et aux échanges académiques, devient ainsi un lieu de rencontre entre l'art et la réflexion. L'installations ne se contente pas de décorer les murs : elle invite les étudiants et les membres du personnel à redécouvrir leur environnement, à interroger le langage et les expressions qui font partie de leur quotidien, tout en prenant conscience de leur pouvoir.
L'œuvre installée à la FSEG rappelle que l’art peut se trouver dans les endroits les plus inattendus, et que l’espace académique, loin d’être un lieu figé, peut devenir un terrain d’expression et de questionnement. Grâce à cet événement, le festival « Écrivaines à l’Université » réussit à mettre en lumière des artistes comme « Les Murs ont des Oreilles », qui, par leur travail, interrogent les fondements mêmes de notre rapport à l'écriture, au langage et à la culture.
Mais l’artiste ne se limite pas à cette signature visuelle : elle explore également le langage à travers des œuvres où elle déconstruit des expressions courantes et joue avec les subtilités de la langue. Sa série « Au Pied de la Lettre », lancée à l’automne 2020, s’intéresse précisément à la manière dont les mots et les expressions peuvent être réinterprétés et réécrits, notamment pour exorciser sa propre expérience en tant que dyslexique et dysorthographique.
L’invitation de l’artiste à la FSEG s'inscrit parfaitement dans l’esprit du festival « Écrivaines à l’Université », qui met en lumière les créatrices, leur démarche et leur contribution à la culture contemporaine. Cette œuvre visuelle est une invitation à réfléchir sur la manière dont l’art peut investir l’espace académique et interroger les représentations du langage, de l’écriture et de l'expression.
L’espace universitaire, habituellement dédié à l'enseignement et aux échanges académiques, devient ainsi un lieu de rencontre entre l'art et la réflexion. L'installations ne se contente pas de décorer les murs : elle invite les étudiants et les membres du personnel à redécouvrir leur environnement, à interroger le langage et les expressions qui font partie de leur quotidien, tout en prenant conscience de leur pouvoir.
L'œuvre installée à la FSEG rappelle que l’art peut se trouver dans les endroits les plus inattendus, et que l’espace académique, loin d’être un lieu figé, peut devenir un terrain d’expression et de questionnement. Grâce à cet événement, le festival « Écrivaines à l’Université » réussit à mettre en lumière des artistes comme « Les Murs ont des Oreilles », qui, par leur travail, interrogent les fondements mêmes de notre rapport à l'écriture, au langage et à la culture.
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